Les
Boules de Geisha
Aujourd'hui
j'ai fait quelque chose de merveilleusement troublant et excitant...
J'étais à mon bureau, en train de travailler activement, quand j'ai
soudain eu une sacrée impulsion qui m'a commandé de satisfaire sur
le champs mes désirs les plus chauds. Brusquement il n'était plus
question de boulot mais uniquement de plaisir, je sentais des ondes
classées X traverser tout mon corps.
J'ai décidé de faire une pause, d'aller faire un tour dans les environs.
Je suis sortie et j'ai marché, nonchalamment et sans but, profitant
de la sensation agréable de sentir un doux vent me caresser le visage
sans subir la pluie qui nous arrose plus ou moins depuis des mois.
Je marchais, je marchais, passant devant maints sex-shops ou magasins
de fringues, et j'avançais assez lentement, avec l'allure de la
touriste qui visite la région.
Je remarquais bien les regards que les hommes me jetaient, chargés
de concupiscence et d'agressivité, et j'ai eu tôt fait de réaliser
que j'étais unique en mon genre dans cette rue cet après-midi. Il
y avait les femmes qui passaient, très pressées, ayant hâte d'être
ailleurs, et il y avait les putes, toute chair dehors par n'importe
quel temps, particulièrement agressives dans leur habillement.
Quant à moi, je suppose que je me plaçais entre ces deux extrèmes
à peu près à tous les niveaux, tant les vêtements que l'attitude,
car je portais une jupe aux genoux, fendue sur un côté, des bas
résille, des escarpins qui n'étaient pas tape à l'oeil et une veste
très cintrée qui mettait bien en valeur mes seins, et j'avançais
d'un pas tranquille.
A un moment donné, j'ai remarqué un jeune homme qui me regardait.
Quand je dis un jeune homme, je suis généreuse. Un adolescent serait
plus juste. Il portait à l'épaule ce qui semblait bien être un sac
de cours. Il était frais et pimpant comme un éphèbe des temps jadis,
absolument à croquer.
Je me suis mise à l'observer avec plus d'insistance encore qu'il
en avait mis à attirer mon attention. Aparemment, je le mettais
mal à l'aise, assez pour qu'il rougisse du moins; mais pas suffisamment
pour qu'il s'en aille.
J'ai jeté un coup d'oeil autour de moi, et j'ai choisi le sexshop
dont la vitrine avait l'air la plus avantageuse. D'un pas lent j'y
suis entrée, me demandant combien de temps j'allais attendre avant
de voir le jeune homme entrer. Allez, tu auras droit à ton titre
de jeune homme car je suis de bonne humeur aujourd'hui...
La boutique était abondamment garnie de pièces de lingerie en tous
genres, de godes, de jouets, de livres ou de vidéos, bref, les instruments
habituellement disponibles dans ce genre d'endroits.
Je me suis tranquillement dirigée vers l'étagères des bouquins et
j'en ai pris un, commençant à le feuilleter avec concentration,
tout en ne quittant pas la porte des yeux. Juste au cas ou.
La vendeuse m'a considérée avec étonnement, sans doute peu habituée
à voir rentrer une femme seule dans son magasin, et encore moins
à la voir ensuite se balader entre les rayonnages, semblant hésiter
quant à ses achants. En guise de clients, il y avait là deux hommes,
sans aucun signe particulier notable à mes yeux. Ils n'étaient que
des inconnus comme il y en a tant, et en l'occurrence ceux-ci ne
possedaient pas l'espèce d'innocence gracieuse de mon jeune éphèbe.
Je n'avais pas envie de jouer avec eux, pas envie de me jouer d'eux,
et j'ai donc poursuivi ma lecture d'un air détaché.
Soudain la porte s'est ouverte et j'ai vu mon jeune homme rentrer.
Il a jeté un rapide regard circulaire dans la pièce, puis m'a trouvée
et a affiché un air de satisfaction manifeste sur son petit visage
d'ange. La vendeuse n'a pas tiqué. Sans doute avait-elle l'habitude
de ce genre de largesses.
Je suis allée vers l'étagère des jouets, sans quitter mon éphèbe
des yeux. J'ai pris deux godes, et j'ai commencé à les manipuler
du même air que celui de la ménagère qui cherche a jauger la qualité
de légumes au marché.
Puis je l'ai fixé, droit dans les yeux, caressant toujours mes godes
d'un air concentré. Doucement mon regard est descendu. Bientôt j'étais
sur sa bite, et malgré le super falzar de skater à entrejambe-genoux
qu'il portait, j'ai quand même pu constater qu'il bandait dur.
Alors j'ai souri.
"Mademoiselle" ai-je appelé la vendeuse, "puis je vous poser quelques
questions?"
Elle est arrivée avec son air le plus professionnel, le "je suis
à votre disposition" de rigueur.
"Mais oui, que puis je pour vous? Quelques renseignements peut être?"
Mon jeune homme faisait mine de regarder les jaquettes des vidéos,
un des autres hommes était devant les sous-vêtements (c'était un
gringalet absolu il avait l'air passionné par les porte-jaretelle
en taille 36) et l'autre était parti.
"Je me demandais, entre ces deux vibromasseurs, lequel est le plus
performant?" ai je dit d'un ton très naturel. " celui ci m'a l'air
sympa" ai-je ajouté en désignant l'objet rose fluo que je tenais
de la main gauche" mais la forme n'est pas super réaliste, surtout
au niveau du gland. L'autre me plait bien aussi, mais j'ai peur
qu'il soit un peu gros... Qu'en pensez-vous??"
Et je continuais de caresser machinalement mes deux engins, en n'ayant
l'air de rien, tout en perdant pas de vue mon jeune éphèbe.
"Hé bien, il y a un modèle qu'on vend énormément en ce moment, c'est
celui ci, regardez, il est d'une taille un peu inférieure à celle
de l'article que vous tenez, mais il est aussi bien imité sinon
plus, tenez, touchez!!! C'est une nouvelle matière complêtement
révolutionnaire, ça imite vraiment la peau. Et en plus, il a été
étudié pour s'adapter très rapidement à la température ambiante."
"Vraiment?" ai-je fait avec mon air le plus surpris."faites voir,
que je le touche un peu... C'est très important de toucher vous
savez..."
J'ai regardé de côté. Mon jeune homme était toujours devant l'étal
des vidéos. Il se dandinait d'un pied sur l'autre d'une manière
qui montrait assez bien sa gêne.
"C'est vraiment extraordinaire" me suis-je exclamée d'une voix guillerette,
" c'est vrai qu'on a presque l'impression de caresser une vraie
queue, on sent bien les petites veines, et ils ont même fait la
peau du gland encore plus douce... Quelle merveille! Ca donne vraiment
envie de se le mettre dans la bouche... je crois que je vais l'acheter!"
En parlant, j'ai regardé ma jeune victime. Il s'était retourné vers
moi cette fois, sentant peut être que la façon outrageuse dont je
l'allumais justifiait au moins qu'il me regardât en face.
"Mais je vais encore réfléchir", ai je dit a la vendeuse." en fait,
j"étais venue pour acheter autre chose... Des boules de geisha,
si vous avez..."
La vendeuse m'assura qu'elle avait en rayon toutes les gammes et
tous les prix, et m'indiqua l'étagère concernée. Tandis que je me
dirigeais vers les boules de geisha elle est retournée à son comptoir
trier des papiers.
J'ai rapidement examiné le rayon, optant pour les boules de latex
rigide avec petites billes de métal a l'intérieur. Une valeur sure.
A les voir, j'imaginais déjà la sensation délicieuse que j'allais
ressentir à les introduire à l'intérieur de moi. Je savais que ma
chatte était déjà bien humide, et depuis un petit moment à présent.
Je n'allais pas attendre bien longtemps avant de me servir de ma
nouvelle acquisition...
Je suis retournée vers le comptoir en passant près des cassettes,
et j'ai frôlé au passage mon innocente victime. Il s'est tendu et
a fait tomber une des cassettes qu'il examinait.
Je me suis baissée pour la récupérer et j'ai longuement fixé ses
yeux quand je la lui ai rendue. Il avait bien l'âge que je lui supposais,
peut etre dix huit ans mais certainement pas plus et sans doute
un peu moins, et il arborait ce genre de corps longiligne et musclé
à la fois qu'ont beaucoup d'ados.
Je me suis détournée de lui et j'ai été payer mes boules en caisse.
La vendeuse m'a félicitée pour mon choix. Elle devait sans doute
penser que je bossais dans le quartier et que je venais me procurer
des instruments de travail... Cette idée m'amusait vraiment.
Je suis sortie de ce sexshop avec mon petit sac à la main, sans
me presser.
L'avenir allait rapidement me dire si je m'étais ou non trompée.
Comme je m'en étais doutée, une minute à peine plus tard, le jeune
homme sortait à son tour de la boutique. Je l'ai regardé, et j'ai
ralenti le pas de manière à ce qu'il me rattrappe s'il en avait
le courage ou l'envie. Il l'a fait. Je lui ai souri. "Viens", lui
ai je dit.
Je l'ai entrainé vers un endroit que je connaissais (c'est un quartier
ou il y a pas mal d'entrepôts aussi) et nous nous sommes réfugiés
sous le porche d'un immeuble en travaux où il ne se passait apparemment
rien ce jour là. La place était à nous.
J'ai laissé tomber mes sacs (à main et à jouets sexuels) par terre
et j'ai relevé ma jupe en haut de mes cuisses. Mes bas résille laissaient
une bande de peau découverte et je ne portais qu'un string. J'ai
doucement commencé à caresser ma peau , si douce à cet endroit là.
sans quitter des yeux l'éphèbe.
"j'ai envie que tu me montres ta queue", jelui ai dit.
Il s'est lentement éxécuté, déboutonnant son étrange pantalon et
le laissant tomber sur ses chevilles. Il avait à vrai dire un sexe
impressionnant, et il bandait au maximum.
Sans rien dire je l'ai empoignée et j'ai commencé à le branler.
Je ne pouvais même pas faire le tour de sa queue entre le pouce
et l'index, il fallait que j'appelle le majeur à la rescousse...
tout ça me mettait en appétit, et pourtant je ne désirais rien de
plus que le toucher, le caresser à pleine paume en le regardant
dans les yeux.
Soudain, il m'a attrappée et a baissé mon string. Ses mouvements
étaient malhabiles et enfiévrés. Il a passé ses mains sous ma veste
et est remonté jusqu'à mes seins, les faisant jaillir de mon soutien
gorge, agaçant mes têtons de ses doigts.
Il est retourné caresser ma chatte, enfoncer ses doigts dans mon
ventre brulant de désir, et j'ai ressenti comme un électrochoc.
C'était bon, si bon.... J'étais plus excitée que je ne l'aurais
cru possible. Cet inconnu qui me touchait pour la première fois
et qui ne devait pas avoir des masses d'expérience arrivait je ne
sais comment à me mettre le feu... On était là tous les deux, chacun
à caresser l'autre, et je sentais que l'orgasme ne mettrait pas
très longtemps à venir.
Puis il s'est baissé et a rammassé le sac du sex shop, arrachant
mes boules de geisha de leur etui sous vide, et les malaxant dans
sa main libre.
Il s'est approché de moi et a commencé à les enfoncer en moi. Je
les avais choisi assez petites, elles ont donc pénetrées assez facilement,
d'abord la première puis l'autre, objets mystérieux reliés par un
fil et destinés à me faire connaitre un plaisir encore plus grand...
Une fois les boules de geisha en moi, je me suis contractée autour
d'elles, les faisant s'entrechoquer encore et encore.. je sentais
très bien les plus petites boules qui étaient à l'intérieur vibrer
et envoyer des ondes incroyablement troublantes dans tout mon ventre...
Et pendant ce temps je branlais toujours mon partenaire d'un quart
d'heure... Sa queue était de plus en plus grosse, de plus en plus
dure et gonflée, et je la sentais sur le point d'exploser. Ses doigts
à lui caressaient toujours ma chatte... Doucement je l'ai aidé,
et quelques secondes plus tard, sous ses doigts et les miens, je
venais dans un spasme de plaisir d'une violence inouie.
Une seconde plus tard, ma main était couverte de son foutre tiède
et nacré.
Nous avions réussi notre timing jusqu'au bout.
Alors j'ai rammassé mes affaires, rangé mes boules de geisha trempées
dans leur sac hermetiquement fermé, (j'avais une provision de kleenex
dont j'ai filé une partie à mon partenaire) et je me suis redonnée
tant bien que mal figure humaine.
Je me suis préparée à partir sous les yeux de mon complice.
"Pense à moi la prochaine fois que tu les utiliseras", m'a t-il
dit , l'oeil humide d'émotion.
Je lui ai fait un bisou sur la joue et je le lui ai promis.
Puis je suis retournée à mon bureau, où tout le monde m'attendait.
J'ai passé le reste de la journée à bosser comme une folle, très
détendue par mon activité de l'apres-midi, et je me suis juste accordé quelques temps pour vous raconter cette anecdote. |